D�nominateur Commun 

Par Rick Boxx

Il y a quelques ann�es, un ami se plaignait � moi au sujet de plusieurs employ�s qu'il avait vir� successivement apr�s leur occupation dans un poste cl� particulier de l'entreprise. �Ils sont tous des idiots�, il a dit. �Aucun d'eux a r�pondu � mes attentes.�

Apr�s l'avoir �cout� d�tailler les faiblesses suppos�es de chacun de ces anciens employ�s, et aussi en sachant que mon ami avait toujours lutt� avec le perfectionnisme, j'ai compris le vrais probl�me. La question, il semblait clair pour moi, ne concernait pas les anciens employ�s, mais celui qui les employait.

Quand mon ami a conclu ses appr�ciations n�gatives des employ�s, j'ai essay� de ne pas laisser passer un air de jugement, disant �Je ne vois qu'un seul d�nominateur commun dans tout cela.� Il a imm�diatement compris que je parlais de lui. Prenant mon point de vue en consid�ration, il a d�cid� d�utiliser cette information pour revoir ses attentes par rapport au travail. R�cemment, il m'a dit combien il �tait reconnaissant pour mon doux reproche.

Il est �vident que j'aurais pu ne rien parler et tout simplement �cout� la plainte de de mon ami sans offrir aucun conseil. Mais j'ai senti qu'il �tait important qu'il voie son dilemme � partir d'un point de vue objectif. M�me s'il ne parait pas toujours �tre facile d'offrir des critiques constructives sans le risque d'offenser, parfois un reproche bienveillant est ce qu'un ami a besoin.

Comme Proverbes 28.23 dans l'Ancien Testament de la Bible enseigne, �Celui qui reprend son prochain gagnera finalement sa faveur, plut�t que l'homme au langage flatteur.�

Il existe un autre c�t� dans des situations de ce genre: le degr� de volont� de l'autre partie pour accepter bien intentionn� des corrections et les prendre en compte pour une action future. Mon ami aurait pu rejeter mon observation de qu'il �tait le "d�nominateur commun� dans l'�chec des employ�s licenci�s. Au lieu, il a humblement pens� � ce que j'avais dit et s'est d�termin� � prendre des mesures correctives. Voici quelques autres pens�es du livre des Proverbes au sujet de des reproches et de la correction:

La volont� d'accepter la correction m�ne au succ�s. Un reproche sinc�re est une forme de discipline, parce que la personne qui offre les paroles correctives g�n�ralement essaie d'aider � apporter une solution raisonnable pour un probl�me, celle qui peut b�n�ficier toutes les personnes concern�es. Comme Proverbes 10.17 dit: �Celui qui tient compte des critiques qu'on lui fait est sur la voie de la vie, mais celui qui fait fi des reproches se fourvoie.� Proverbes 13.18 ajoute: �Celui qui ne veut pas se laisser corriger tombera dans la mis�re et la honte, mais celui qui accepte les critiques sera honor�.�

Le refus de consid�rer un reproche aimable est stupide. Dans nos situations de travail, souvent nous nous trouvons trop pr�s des probl�mes pour voir la solution ad�quate. Les id�es d'un ami ou un coll�gue de confiance peuvent fournir des informations que nous pourrions facilement ignorer ou n�gliger. �Celui qui aime la correction aime la science; Celui qui hait la r�primande est stupide.� (Proverbes 12:1).

Un reproche en temps opportun peut �viter des cons�quences d�vastatrices. Si vous �tiez au volant sur ​​une route inconnue et tout pr�s d'entrer dans un foss�, vous voudriez quelqu'un de familier avec la r�gion pour vous avertir d'un danger imminent. La m�me chose est vraie si vous �tes sur le point de prendre une d�cision d�sastreuse. �L'enseignement du sage est une source de vie, pour d�tourner des pi�ges de la mort.� (Proverbes 13.14).

�Toutes les voies d'un homme sont pures � ses yeux, mais celui qui �value les dispositions d�esprit, c'est l'Eternel.�
 

A la semaine prochaine!